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History of Delozale

Nous sommes arrivés dans les cosmétiques complètement par hasard...

Jusqu’à il y a environ une dizaine d’année, j’achetais mes cosmétiques (crème de jour, de nuit, maquillage, …) dans les grandes surfaces et les parfumeries. De temps en temps je m’offrais une crème de grande marque, plus pour le plaisir que pour l’efficacité, car je n’ai jamais vraiment vu la différence en termes de résultats.

 

Et puis j’ai commencé à être sensibilisée aux dangers de certains ingrédients comme le parabène et les nanoparticules, et je me suis mise aux produits bio. Je ne voyais pas de grands résultats non plus, mais au moins je ne m’intoxiquais pas. En tout cas c’est ce que je pensais…

 

Il y a 6 ans, dans le cadre d’une reconversion professionnelle, j’ai suivi des études de naturopathie et j’ai appris un grand nombre de choses sur la physiologie humaine et la santé. C’est là que j’ai découvert qu’une partie des substances que l’on met sur sa peau pénètre directement dans le sang, qui le transmet ensuite à tous les organes du corps, y compris notre cerveau (surtout si on applique ces substances sur les cheveux, le visage et le contour des yeux). C’est comme ça que fonctionnent les patchs hormonaux, les patchs de nicotine, et les patchs antidouleur. Le problème c’est que si ce sont des substances nocives, chimiques, voir cancérigènes, elles peuvent affecter le fonctionnement normal des organes en s’y accumulant, et entraîner des perturbations hormonales et la croissance de tumeurs.

 

J’ai ainsi réalisé que ce que l’on met sur sa peau, notre organisme l’absorbe comme les aliments que nous ingérons. Donc littéralement, on le mange ! Si je voulais préserver ma santé, je devais donc faire autant attention aux aliments que je consommais qu’aux produits que je mettais sur ma peau.

 

J’ai alors regardé avec plus d’attention la composition et les ingrédients de mes crèmes bio, et je me suis rendue compte qu’il y en avait énormément et que je n’en comprenais pas le quart, n’ayant pas fait beaucoup de latin à l’école ! Dans ces formules à rallonge, difficile d’identifier les ingrédients controversés et les ingrédients réellement actifs, l’ingrédients principal étant toujours principalement de l’eau.

J’ai alors fait certaines recherches et j’ai découvert que dans les cosmétiques bio aussi, certains ingrédients sont plus ou moins nocifs, même s’ils le sont moins que dans le conventionnel.

Par ailleurs, certaines marques bio, pour éviter le parabène et les conservateurs, se tournent vers l’alcool et les huiles essentielles. Or ces composants assèchent et irritent la peau lorsqu’ils sont présents en quantité importante. Ils peuvent donc aussi présenter un danger en fonction des personnes qui vont l’utiliser et provoquer des allergies.

Bio n’est donc pas un gage de qualité et de sécurité et n’est pas forcément sans danger.

 

J’ai donc décidé de me tourner vers les huiles végétales car d’une part, transparence totale du produit car un seul ingrédient, l’huile elle-même, et d’autre part on peut les manger, donc sans danger pour mon organisme. Du moins, c’est ce que je croyais aussi…

 

Je les ai utilisées pendant 3 ans, essayant et alternant huile de coco, de jojoba, d’abricot, d’argan, d’avocat, d’amande douce, ayant toutes soi-disant des bienfaits spécifiques pour la peau : huile d’avocat anti rides, huile d’argan raffermissante, huile d’amande douce nourrissante…. Mais franchement, les résultats n’étaient pas vraiment au rendez-vous, ma peau était quand même plutôt souple et hydratée, mais pour les promesses antirides et autres, ce n’était pas flagrant ! Pour certaines, je devais même en remettre dans la journée car ma peau tirait à nouveau, et pour d’autre comme l’huile de coco, j’ai eu beaucoup de points-noirs (j’ai découvert par la suite qu’elle était très comédogène). Et puis j’avais toujours une sensation de gras qui mettait du temps à s’en aller, elles ne pénétraient pas rapidement ma peau. 

Mais je ne connaissais pas d’autres meilleures alternatives à l’époque et j’en ai donc pris mon parti !

 

 Et puis sont apparues les premières taches dites « de vieillesse » sur mon visage. Etant dans un métier de la santé et de la compréhension de la physiologie humaine, je fais très attention à mon alimentation et à mon hygiène de vie, et je n’ai donc pas compris pourquoi, malgré tous mes efforts, j’ai quand même eu ces vilaines taches brunes sur ma peau. J’ai alors fait des recherches afin de comprendre ce qu’il se passait, et ce que j’ai découvert m’a presque fait tomber de ma chaise !!!

 

Il s’avère que la plupart des huiles végétales sont insaturées. Cela signifie que chimiquement elles ne sont pas saturées en ions hydrogènes. Cela se traduit physiquement par le fait qu’elles restent liquides à températures ambiante, contrairement aux graisses saturées comme le beurre et le saindoux, qui restent solides à température ambiante. Mais cela pose un énorme inconvénient qui est que, comme elles ne sont pas saturées en atome d’hydrogène, dans leur composition chimique il reste des places de libres, que vont s’empresser de prendre les radicaux libres dès que l’occasion leur en sera donnée. Ils vont ainsi oxyder l’huile, ce qui va lui donner une odeur de rance, et ce qui va provoquer, si on les ingère où qu’on les met sur notre peau, une oxydation de nos tissus, et un vieillissement prématuré de nos organes et de notre peau. Ces huiles végétales soi-disant santé, riches en oméga 3, sont en fait dangereuse pour notre organisme !!!

 

Si vous voulez connaître les sources de mes découvertes, vous trouverez sur le blog du site internet www.delozale.fr les articles correspondants.

J’ai ainsi découvert que les taches de vieillesse était dû à un pigment appelé lipofuscine qui était le résultat de l’oxydation des acides gras insaturés qui se trouvent dans notre épiderme, oxydation accélérée par les rayons du soleil d’où le fait que l’on trouve ces taches principalement sur le visage, le décolleté, et les mains, zones souvent exposées à la lumière extérieure.

 

Il ne m’en fallait pas plus pour que j’arrête immédiatement de mettre ces huiles sur ma peau !

Mais j’en revenait du coup à la question : comment pouvais-je hydrater, nourrir, et protéger ma peau sans les inconvénients de tous les produits que j’avais testés auparavant ?

 

J’ai donc repris de nouvelles recherches et j’ai découvert que les cultures traditionnelles de tous les continents, les égyptiens, les amérindiens, les Inuits, vénéraient les graisses animales et les utilisaient depuis des siècles dans leur soin de peau et leurs onguents médicinaux.

J’en ai cherché la raison et j’ai découvert que la graisse animale est l’un des aliments les plus denses en nutriments.

La graisse de bœuf par exemple, qu’on appelle aussi suif, contient les éléments suivants :

Composition de la graisse de boeuf et ses propriétés inhérentes.

 

Voilà pourquoi mettre de la graisse animale sur sa peau est si efficace.

 

Mais alors pourquoi ces pratiques qui ont fonctionné de manière efficace depuis si longtemps étaient-elles oubliées aujourd’hui ? Il s’avère que depuis une centaine d’année, ces pratiques ont été enfouies sous des recommandations purement marketing, et remplacées par des produits chimiques, des produits pétroliers, des produits synthétiques, bien plus rentables pour les industriels qu’une simple graisse animale.

J’avais donc l’explication !

 

Je me suis donc empressée de chercher sur le Net une crème à base de graisse animale mais je n’en ai trouvé aucune en France. Par contre, j’ai découvert qu’il en existait depuis longtemps aux Etats-Unis, notamment sur les sites américains comme Amazon et Etsy, et qu’elles avaient fait leurs preuves car au vu des nombreux commentaires qui s’y trouvent, les utilisateurs sont ravis de leurs effets et les recommandent fortement. 

 

J’ai donc décidé de fabriquer moi-même cette recette traditionnelle en la modernisant et en la remettant au goût du jour.

Je suis allée chercher de la graisse de bœuf chez mon boucher que j’ai fait fondre, puis j’ai fait plusieurs manipulations afin de la blanchir et de la désodoriser naturellement. Je vous passe les aléas et différents essais odorants et graisseux, et j’ai finis par obtenir une crème parfaitement utilisable en l’état. Je l’ai donc testée sur moi et les résultats ont été visibles si rapidement que mon mari a commencé à l’utiliser et en a été ravi aussi.

 

Ce baume m’a changé la vie dans ma routine de soins, car je l’utilise pour tout, et il a tellement amélioré l’état de ma peau que mes amies s’en sont aperçu et m’ont demandé de leur en fabriquer pour elles-aussi. Elles l’ont trouvé génial et m’en ont redemandé rapidement. Il n’en fallait pas plus pour que nous décidâmes, mon mari et moi, de la fabriquer à plus grande échelle pour en faire profiter un maximum de personnes.

 

Et voilà comment nous sommes là aujourd’hui pour vous partager notre enthousiasme et notre joie de pouvoir vous faire connaître un cosmétique unique en France, qui non seulement vous fera rapidement une belle peau, mais surtout qui est sans aucun danger pour votre santé.

Anne, cofondatrice de Delozale

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